mes collègues s'en foutent ils l'ont pas lu et ils parlent pas français |
mon copain fait genre il s'en fout pas parce qu'il est gentil, mais il s'en fout un peu quand même |
Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait LIVREsse, 23/02/2014: “Une
lecture qui trotte en tête et qui vous rappelle qu’il faut plus que
jamais regarder au-delà des apparences et renouer une solidarité
interpersonnelle perdue. Un texte moderne où l’auteure mélange avec art
réflexions de sa narratrice et documents variés, règlement d’ordre
intérieur, conversations instantanées sur Facebook, etc. Le tout
formant un récit vif qui vous entraîne toujours plus loin dans la
découverte des travers de notre société individualiste. Un roman qui
plaît énormément mais qui dérange tout autant puisqu’il appuie là où ça
fait mal!”
Le chat pitre, 24/02/2014: “Nos
tables de libraires ne manquent pas de romans se déroulant entre les
murs des lycées et des pensionnats. Mais il est rare de trouver un ton
aussi juste, que ce soit pour parler des amitiés et des amours qui se
lient et qui se défont, ou des angoisses liées à la pression d’un
système scolaire et d’une société faisant de la compétition une valeur
absolue. Les enfants sages de Clémentine Beauvais sont loin de
ressembler à des images. Leurs émois et leurs déconvenues s’inscrivent
dans leurs chairs et cela peut faire mal.”
Entre nous, 26/02/2014: “Encore un livre sublime de la collection Exprim’. Commencé et lu d’une traite…”
A voir et à manger, 27/02/2014: “Henri
IV a une solide réputation d’enfer sur terre, mais c’est surtout vrai
du lycée qui ne forme pas des lycéens, mais les futurs étudiants en
grandes écoles. Le bac n’est pas un objectif, mais une formalité et on
ne considère ici la réussite qu’à la mention Très Bien. Clémentine
Beauvais a été une lycéenne de Henri IV et même si Comme des images
n’a absolument rien d’autobiographique, on sent bien qu’elle s’est
inspirée de ses propres expériences pour enrichir son roman. C’est sans
doute ce qui est le plus intéressant, au-delà de l’anecdote et au-delà
des tracas, sentimentaux ou non, de jeunes filles en seconde.”
Biblioado, 24/02/2014:
“Une réflexion sur l’adolescence, sur le milieu scolaire et la pression
qui peut y voir le jour. Une réflexion sur l’amitié, sur les sentiments
amicaux, leur sincérité, leur valeur, réflexion sur la vie des ados et
de la violence qui peut envahir leur univers (moquerie, harcèlement). Un
roman sans concession qui nous tient en haleine.”
En passant, 02/03/2014: “En
tombant de haut, quelqu’un vient de faire sauter le puzzle de sa vie.
Elle va essayer d’en rassembler les morceaux pour nous aider à le
reconstituer, à petits coups d’analepses. Il va être beaucoup question
d’images, le titre ne ment pas : d’image de soi, d’image que l’on donne
aux autres, que les autres fabriquent de vous, qu’ils diffusent, qu’ils
détruisent, qui se conservent quand même, auxquelles on voudrait
échapper (mais on ne peut pas). Sage comme une image ? Oui, à devenir
folle. Pour un peu, dans ce monde, on ne serait « plus une personne,
mais une image ». Société du spectacle, annonçait le prophète Debord.”
Les lectures de Bouch, 03/03/2014: “Je
ne sais pas par où commencer. Ce roman, terriblement court, m’a
bouleversée. Après en avoir tourné la dernière page, je suis restée cinq
bonnes minutes, là, le bouquin entre les mains, complètement hébétée.
Parce que ce roman n’est pas seulement une histoire de vengeance
puérile. Il ne nous met pas uniquement en garde contre les méfaits des
réseaux sociaux. Non, ça, c’est plutôt la coquille, le voile qui
l’englobe. Il parle avant tout des adolescents. De ces adolescents
complètement livrés à eux-mêmes, et de leurs parents, totalement
déconnectés de ces enfants.”
Spleen La Jeune, 05/03/2014: “On
pourrait croire que ce roman traite du cyber-harcèlement, des conneries
que font les adolescents … On pourrait croire que ce roman aborde des
thèmes qui ne concernent que cette horde d’adolescents débiles. On
pourrait mais ce serait se tromper. Comme des images va plus loin, Comme
des images est plus profond. Ici, il est question de communication … La
Communication. Parents-enfants. Professeur-Enfants. Entre potes. Toute
communication. Il est plus facile de balancer quelques conneries que de
parler de ce qui agite nos tripes. Il est plus facile de prétendre être
que d’être réellement.”
Batifolire, 06/03/2014: “Engouement
mérité sur la toile et les réseaux sociaux pour ce roman qui aborde
justement le sujet de nos nouveaux modes de communication et les effets
pervers qu’ils peuvent avoir.“
L’antre des livres, 07/03/2014: “Aux
premiers abords on pourrait croire que c’est un roman qui dénonce le
cyber-harcèlement et le danger des réseaux sociaux et d’internet. Ce qui
est faux. Bien sûr, on y pense en le lisant, mais ce que ce livre
semble pointer du doigt en premier lieu, c’est la course à la réussite,
la pression qui est mise sur les frêles épaules des élèves, dès le
collège. Et à cela s’ajoute l’importance que l’on donne à la réputation
et à l’image, au paraître.”
Le tiroir à histoires, 07/03/2014: “Comme
des images est un roman contemporain, ancré dans l’ère 2.0, comme en
témoigne sa narration originale, vivante, empruntant volontiers et
judicieusement les codes des nouvelles formes de communication. S’il
est question, en toile de fond, de notre rapport nouveau, obsessionnel,
voyeur, exhibitioniste, amoral, superficiel à l’image numérique, c’est
d’autres images qui sont pointées du doigt : Les images que nous
choisissons d’être, ou de chérir, les images des autres et de soi, dans
tout ce qu’elles ont de fascinant, d’illusoire, de factice. Et plus
pernicieusement, les rapports artificiels qui en découlent.”
A-lu-ciné, 10/03/2014:
“Un livre efficace qui se lit très vite et qui marque. Un roman à
placer sans nul doute entre beaucoup de mains et notamment celles des
ados (et des adultes) qui ne mesurent pas bien l’ampleur des dégâts que
peut causer une malheureuse toute petite vidéo postée sur le net.”
Etincelles de plume, 10/03/2014: “Pour
vous expliquer l’ambiance de ce roman, la couleur bleu est un bon
début. Bleu clair, plus précisément. Car ” Le verre n’est jamais si bleu
qu’à sa brisure – Les yeux d’Elsa d’Aragon” ; car le bleu est la
couleur dominante sur la couverture; car c’est un monde coincé, qui, en
une journée, va éclater en morceau, révélant les vérités, les dangers,
la vraie vie… Ce roman est indescriptible, et pourtant, je m’acharne à
vous le décrire… Le diagnostic est clair: vous devez le lire. Comme
des images est un coup de coeur, un coup de coeur qui marque, horrifie,
fascine… Il se lit vite – une soirée pour moi – mais reste gravé en
vous par la suite.”
La bouquineuse, 10/03/2014: “Un
excellent livre car je n’avais jamais ressenti un trouble pareil en
refermant un roman. J’étais littéralement perturbée. Et je pense que je
n’oublierai pas cette histoire de sitôt.”
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J'ai aussi donné quelques interviews/ entretiens au sujet de Comme des images et de l'écriture récemment:
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Et c'est pas tout... regardez ce qu'un centre culturel en Normandie a mis en place pour promouvoir Exprim'!
Voilou c'est tout!
Et c'est pas tout... regardez ce qu'un centre culturel en Normandie a mis en place pour promouvoir Exprim'!
avec mes très grandes plongeuses en background |
Voilou c'est tout!
Ceci était un message du service chargé de l'entretien du petit nombril de Clémentine Beauvais. La livraison normale de billets non-autopromotionnels reprendra mercredi.
Héééé, y a pas le bouton fb pour partager ça sur fb ! (oui, mon français régresse, c'est normal à force de passer son temps sur fb à parler tour à tour de : pépix, comme des images, pépix, comme des images, pépix, clémentine beauvais, pépix, clémentine beauvais…
RépondreSupprimer… mais qui sait si ces deux lignes apparemment parallèles ne finiront point par se croiser ? (hé hé…)
waouh !!! Clem, moi j'm'en fous pas : bravoooooo !!!
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