oh le beau temps |
avec plein de grenouilles |
moi en train de torturer publiquement des petits lecteurs |
z'ai fait un bô dessin |
juste trop magnifique, #quedubonheur |
une petite pensée en forme de guili-guili au chignon |
La littérature jeunesse de Judith & Sophie, 11/03/2014: “Il
n’est jamais question de matraquer les ados en leur disant qu’internet
c’est le mal. Il s’agit au contraire d’une invitation à la réflexion
pour éviter ces situations extrêmes mais de plus en plus fréquentes. Ce
roman, c’est aussi des questionnements d’adolescents : des envies d’une
autre vie, des personnalités qui se cherchent, des actes irréfléchis,
des amours, des amitiés, la pression des études (ici on est au lycée
Henri IV à Paris qui forme l’élite de la société)…Ce roman, c’est aussi
une fin. Une fin qu’on attend du fait des apartés de la narratrice sur
le parcours qui l’a menée dans cet hôpital, mais une fin qu’on n’imagine
pas, une fin qui dénote en sortant du fil conducteur de l’histoire tout
en étant son dénouement le plus innatendu.”
3 étoiles, 12/03/2014: “Un
roman hypnotique et moderne qui décrit avec justesse et intelligence
certains travers de la société, les affres de l’adolescence, l’ingérence
humaine : le cri primal de l’injustice, le premier non. Enorme premier
***coup de coeur*** roman 2014″.
Sophie lit, 13/03/2014: “J’ai
été profondément touchée par le récit de Clémentine Beauvais qui parle
d’éléments déclencheurs dans une vie, de prise de conscience, de
victimes collatérales, d’amitié manipulée, d’amours adolescentes dans un
casse-tête au dénouement tragique.”
Librairie Payot de Genève, mars 2014:
L’ouvre-livres, 14/03/2014: “Mêmes
vêtements de luxe, même tennis Bensimon et surtout, surtout : même
avenir, même futur formaté, même parcours prévu. Tout est déjà gravé
dans la pierre du prestigieux établissement….Ce roman traite de sujets
contemporains avec une intelligence qui vous saute à la figure à chaque
chapitre. Rien n’y est mièvre ou pleurnichard. Sans pathos, mais avec
pleine conscience de notre époque, Clémentine Beauvais nous offre un
texte subtil, vrai et dramatiquement probable. Lu en un soir et une
pause-déjeuner, dévoré mais pas près d’être digéré.”
La mare aux mots, 14/03/2014: “Souvent
dérangé (mais ça fait du bien, parfois, d’être un peu bousculé), on
assiste à des scènes parfois dures, parfois violentes. Clémentine
Beauvais nous raconte la jeunesse des quartiers huppés, dans lycées aux
taux de réussite au bac proche des 100%”.
Livresse, 15/03/2014: “Mais
de quoi s’agit-il ? Comment un petit livre de deux cents pages peut-il
susciter un tel émoi ? Parce qu’il est criant de vérité, parce qu’il
véhicule des messages que chaque adolescent devrait recevoir en son
sein.”
Livresquement, 21/03/2014: “A
l’image de sa première phrase d’accroche, l’ensemble du livre est
incroyablement prenant. Une fois commencé, croyez-moi, vous ne le
lâcherez plus !“
CRDP de Paris, 31/03/2014: “Une
fois de plus les réseaux sociaux sont mis en cause. Quelle part
d’intimité peut-on y dévoiler ? Que faire en cas de violation délibérée
de son intimité ? Comment Léo va-t-elle s’en sortir ?Jusqu’à la fin le
lecteur croit le savoir. Pourtant il se trompe, l’auteure a choisi de
brouiller les pistes pour le surprendre. Un roman qui met en scène des
adolescents déshumanisés par leur milieu social. Un regard sur la vie
qui changera peut-être les idées reçues.”
Croque les mots, 31/03/2014: “Comment
une intrigue aussi simple peut être autant frappante ? Pourquoi un tel
sujet nous touche autant ? Peut-être parce que nous sommes la génération
touchée en plein coeur…. Ce petit livre est énorme par son fondement.
L’auteure a un style qui sait nous toucher profondément, qui sait nous
concerner, et surtout : Qui sait se moquer de nous. Je ne m’attendais
pas à ce que l’histoire prenne une telle tournure. J’ai été tellement
perturbée par cette fin, ces derniers pages qui ont su me rendre bouche
bée, et me faire refermer le livre avec pour seule parole le silence.
Cette fin géniale.”
Mirontaine, 09/04/2014:
“Beaucoup de pertinence et d’intelligence dans ce roman qui au-delà de
l’intrigue met en scène des dialogues percutants, vifs avec des
références intertextuelles puissantes. A mettre sur toutes les tables de
CDI, de chevets, sur les paillasses des salles de science.”
Aziquilit, 15/04/2014: "Le mal-être des adolescents, les dérives des réseaux sociaux, l’estime de soi sont les thèmes abordés par ce magnifique roman."
Je suis parfaitement estomaquée du nombre et de l'intensité des réactions à ce livre, et je remercie encore les blogueurs et blogueuses très très bas jusqu'à en toucher la moquette avec le bout de mon nez.
Sinon, j'ai des petits truczéchoses en préparation, à divers degrés de probabilité. En vrac:
- une application d'album pour iPad (probablement)
- des vrais albums (peut-être)
- un livre déjanté pour 8-11 ans (probablement)
- un roman pour adultes sombre et psychologique avec un vrai message social et politique candidat au prix Goncourt de l'année prochaine (pas du tout)
Bises à tous,
Clémentine
Moi j'aime bien tout : tes billets consistants ET les photos de ta bobine ! Alors, continue, steuplaîîîîît !!!!
RépondreSupprimerQuels beaux projets d'écriture ! Il me tarde d'en lire quelques extraits sur votre blog pour une mise en appétit.
RépondreSupprimerJe ne dirai pas à quel point il me tarde de lire tes projets d'écriture, ça ferait genre le mec insistant ("probablement"... je t'en fiche !), hé hé...
RépondreSupprimerDis donc, t'as vu comme elle est incroyablement chouette, la lecture commune à l'ombre du grand arbre ? J'ai adoré, perso. Biz à toi ! Tibo
Oui! c'est génial!
Supprimer"ça ferait genre le mec insistant ("probablement"... je t'en fiche !),
RépondreSupprimer@Tibo: drôle de commentaire, basé sur quoi ??
Je suis traducteur littéraire et ai été emballé par COMME DES IMAGES. Et oui, les projets d’écriture de Clémentine Beauvais (avec j’ai échangé quelques mails) m’intéressent : vous trouvez cela bizarre ou louche ou insincère ?
Jean-Paul, Tibo est mon éditeur :) il veut dire qu'il a hâte, je pense (j'espère) de lire mon nouveau projet!
RépondreSupprimerVraiment désolé de ce malentendu, j'avais cru que "le mec insistant", c'était pour moi, d'autant plus que je pensais que Tibo était une fille, d'où ma réaction. I feel a right fool !
RépondreSupprimer@Tibo: je vous présente toutes mes excuses.
haha sympa l'ambiance par ici ;)
RépondreSupprimerTu nous manquais clem !
j'ai adoré ton "un roman pour adultes sombre et psychologique avec un vrai message social et politique candidat au prix Goncourt de l'année prochaine (pas du tout)"
t'en as pas marre d'être drôle, intelligente et belle, par hasard ?
haha! c'est l'impression que donnent mes billets de blog? j'ai eu raison d'embaucher toute une équipe de conseillers en communication.
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